Alors voila une petite introduction. Hum, hum :
Oye ! Oye ! Braves Lecteurs !
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Ici, je publierai des nouvelles et des 'romans' plus ou moins avancés ! J'espère que mes histoires vous plairons ! N'hésitez pas à me contacter pour me poser des questions ! "Bonne lecture ! "

8 déc. 2010

Blood and murders, ou l'histoire de la famille Killit. Présentation.

Présentation des protagonistes :
Rose Killit, dite Rosie, la Maniaque :
Arme de prédilection : Couteau (cuisine, poignard, canif…)
Citation : « Oh ! Le macabé a encore taché le carrelage de la cuisine ! »
                Rose Deschamps est née à Paris. Sa famille, d’origine modeste, a migrée avec elle aux Etats-Unis pour « vivre la grande vie ». Et celle-ci avait eu raison. En effet, après une année de jeux d’argent, de casinos en champs de course, la petite famille avait acquis une fortune considérable. Elle se comptait en millions de dollars ! Mais Rose était toujours restée éloignée des paillettes et des billets verts… En réalité, seul le sang, la mort et les couteaux l’obnubilait. Elle passait des nuits entières à visionner des films d’horreur, à lire des BD de super-méchants et… à aiguiser les couteaux de la cuisine familiale… Elle réussit, à 20 ans, à commettre son premier meurtre. Il s’était déroulé chez elle. La jeune femme avait invité un « ami ». Ils avaient discuté de choses et d’autres et puis elle avait sorti sa lame : un couteau de cuisine, pour couper le rôti ou la dinde du dimanche. Cela s’était résulté en un bain de sang macabre et tout de même salissant. Mais la police n’avait eu aucune preuve. Cela s’arrêtait là. Ensuite, Rose avait retenté sa chance. Elle désirait encore du sang, du sang et du sang. Elle fit en sorte d’être suivie par James, James Killit. Il tomba dans le piège, tout de suite, puisqu’il avait le béguin pour elle. Rose pensait que ça allait être du gâteau. Cette fois, elle se trompait. En effet, James Killit, 24 ans, aimait lui aussi le meurtre et le sang, avec une variante : c’était avec les armes à feux qu’il assouvissait sa passion dévorante. Ils montèrent dans la chambre de Rose. La futur Madame Killit procéda de la même manière que la fois précédente. Ils discutèrent, encore une fois de sujets bénins. Mais les yeux de Jack brillaient d’une lueur étrange, différente des les autres. De plus, il utilisait un ton froid, presque professionnel. Brusquement, Rose sortit son poignard, lui, au même moment, son revolver. Leurs yeux se croisèrent. Ce fut le coup de foudre. Ils tombèrent dans les bras l’un de l’autre et… gardèrent leurs armes, au cas où. La suite : trois enfants et une vie bien remplie ! 
James Killit, dit James, le gaffeur :
Arme de prédilection : Arme à feu (revolver, gun, mitraillette… La plus grosse si possible.)
Citation : «  Oups ! Chérie ! Désolé ! J’ai fait des traces sur le mur du salon ! Il faudrait vraiment penser à le peindre en rouge, ça nous éviterai des soucis de nettoyage… »
                L’histoire de James était l’exacte opposée de celle de Rose. En effet, le jeune James était  issu d’une famille pauvre américaine.
Vivant en plein centre-ville, dans un appartement mité, James a fait ses études dans le lycée du quartier.
Après avoir réussi ses examens avec une année de retard, il décida de faire un métier en rapport avec sa passion : tueur à gage. Depuis ses dix ans, il possédait une envie irrépressible pour le crime sous tous ses aspects. Tuer, même injustement, lui était donc égal. Après avoir commis quelques meurtres et s’être fait une petite réputation dans le monde du banditisme et de l’espionnage, on lui confia une mission périlleuse. On lui ordonna de capturer une jeune femme extrêmement riche. D’origine française, celle-ci s’appelait Rose Deschamps. D’après les ordres reçus il devait la prendre en otage pour exiger une rançon de ses parents millionnaires. « Facile » pensa-t-il.  Apparemment non, car James rata sa mission. En réalité, la suite, vous la connaissez. Le coup de foudre avec Rose et les trois enfants qui suivaient : Evangeline, Bob et Lizziane.

Evangeline Killit dite Eva, la Perfide (ou la Fourbe ou la Sournoise) :
Arme de prédilection : Poison (cyanure, fleurs, champignons…) 
Citation : « J’adore les fleurs ! Elles ont toutes des vertus ! Notamment la glycine et le datura. Devine quelles vertus elles auront quand tu les auras mangé, bouffon !»
                Evangeline était l’aînée de la portée Killit. Elle dépassait son frère et sa sœur dans tous les domaines.
Elle était plus grande qu’eux, plus belle, plus intelligente, plus fourbe, plus méchante, plus sournoise, plus hargneuse… Ce ne sont pas toutes des qualités ? Dans la famille Killit, si… Bref, après avoir fait cinq ans d’études de botanique et d’horticulture, elle s’est dirigée vers « l’entreprise familiale ». Et oui, on peut être belle, intelligente et tuer des gens de sang froid… Et de mort lente dans le cas d’Evangeline. En effet, «le dada d’Eva », d’après sa famille et elle-même, c’était les plantes, mais surtout les plantes dangereuses. Le poison c’était le rayon de l’ainée de la famille. Elle connaissait toutes ses déclinaisons, qu’il soit hallucinogène, instantané, lent, douloureux… Malheureusement, la concurrence rôdait, son frère voulait lui voler la vedette, avec une batte de baseball...

Bob Killit dit Bob, le Bourrin :
Arme de prédilection : Objets contondants (masse, massue, batte de baseball…)
Citation : « Plus il y a de sang, plus je suis content ! »
                On pourrait croire que dans la famille Killit, les hommes ne sont que des brutes épaisses. Ce n’est qu’une idée reçue ! C’est vrai, James était posé, sérieux, froid et calculateur. Tout le contraire de son fils.
Bob, lui, était lourdaud, brute, colérique, borné, idiot sur les bords et par-dessus tout, il ne possédait aucun esprit de groupe ou de stratégie. (Il ne savait même pas ce que voulait dire stratégie…) Pour le plus grand malheur du reste de la famille, Bob a été obligé d’entrer dans l’entreprise familiale lui aussi. Remarquez, n’ayant dépassé la sixième, il ne pouvait tout simplement pas travailler.
Alors ses parents ont eu pitié de lui (ils en ont été puni, d’ailleurs) et l’ont accueilli (je ne dirais pas à bras ouvert) dans le cabinet de tueurs à gages secret : Blood and murders… Sa rentrée dans le cabinet ne fut synonyme d’un seul mot : CA-TA-STROPHE.

Lizziane Killit dite Lizzie, la tard de la famille :
Armes de prédilection : Sarcasmes et sourires.
Citation : « Jamais, je n’intégrerais votre cabinet de tarés ! Bande de dégénérés ! »
                Les parents Killit ne pouvait pas avoir trois enfants parfaits. Ils en ont eu une parfaite, un imparfait mais qui, au moins, travaillait dans Blood and murders, et puis, ils ont eu Lizziane. Lizzie était la personne la plus gentille, sensible, mignonne, guimauve, et émouvante au monde. Dans votre famille, c’était peut-être synonyme d’un ange. Dans la famille Killit, c’était synonyme de boulet, de gourdasse, voir même de pouf, d’après Evangeline. La petite Lizziane, même après avoir vécu dans le crime depuis sa naissance, n’avait jamais tué, jamais péché, jamais craché au sol, jamais injurié quelqu'un, jamais… La liste de jamais était tellement longue que Bob surnommait Lizzie, « Madame Jamais». Elle détestait le crime et ne démentait pas sa phobie du sang. Lizziane était aussi très intelligente, comme sa sœur. Elle effectua beaucoup d’années d’études en droit jusqu'à devenir une avocate reconnue. Sa famille, après avoir su que leur fille avait réussi avec succès les examens de fin d’année, avait annoncé : « Pouah ! Une représentante de la justice ! Traître ! » Sur ces paroles qui peuvent vous paraître stupides, Lizzie avait décampé de la maison familiale et s’était installée seule, tranquille. Depuis, elle avait coupé les ponts avec sa famille, qu’elle considérait à présent comme une bande de dégénérés.



                        Présentation du cabinet : 
Blood and murders, le fonctionnement de  l’entreprise familiale.

            Comme vous pouvez vous en doutez, une « agence » de tueurs à gages ne peut pas ressembler à un simple commerce. On ne dit pas : «  je vais faire un tour dans l’agence de tueurs à gages » comme si on disait : « je vais acheter du pain ». Celle-ci était donc cachée et inconnue au citoyen lambda. Située dans un grand duplex à New-York, l’entreprise secrète se faisait passer pour une agence d’assurance. La vitrine dévoilait les meilleurs moyens de s’assurer contre la mort, ce qui a un certain effet comique, mais aussi contre les incendies, les fuites d’eau, de gaz… L’entrée était une simple pièce carrée, recouverte des mêmes panneaux publicitaires que ceux de la vitrine. Le client ouvrait une porte gigantesque en ébène qui débouchait sur un petit bureau bleu royal. Cette salle était la dernière qui ressemblait à ce que l’on peut trouver dans une agence d’assurance. En effet, derrière se trouvait une réserve où la famille conservait les armes et les poisons. Pour prendre congé des clients, la famille avait engagé un homme qui se faisait passer pour un assureur. En réalité, c’était un ancien videur de boîte de nuit à la retraite qui avait besoin d’argent. Après cette curieuse réserve, la famille empruntait un escalier mité pour arriver dans un palier sombre et exigu, d’où l’on débouchait sur trois petites portes en bois. La première était l’appartement de la famille. Un salon, une salle à manger, quatre chambres, une cuisine et une salle de bain le composait. Toutes ces pièces étaient décorées impersonnellement, meublées chez Ikea et peintes en blanc. Rien d’extraordinaire donc. La deuxième porte menait directement aux salles d’administration de l’entreprise. Grâce à l’organisation pointue de Rose, la famille réussissait à travailler rapidement et efficacement. De plus, les Killit avaient engagé Kyle, un  petit génie en informatique. Le quatuor pouvait donc pêcher tous les renseignements qu’ils voulaient sur leurs futures victimes : lieu d’habitation, revenus, situation familiale.
C’est aussi grâce à ces précieux documents volés à l’Etat que les bourreaux connaissaient le point faible de leur cible. (Addiction aux drogues, au sexe, aux jeux…)  Ils en usaient souvent.
 Par exemple, Rose avait tué un homme dont l’addiction aux jeux était si violente que la tueuse n’eut rien à faire. Elle l’avait juste attaché à une chaise, dans une pièce nue, sans jeux, sans télévision (pour l’empêcher de regarder les chaînes de poker), sans ordinateur (pour l’empêcher de jouer en ligne), pendant quelques jours. Puis, elle l’avait endormi et détaché. Elle était sortie tranquillement de la salle, l’avait enfermé et avait attendu, convaincue qu’il ne fallait rien tenter. Elle avait eu raison. L’homme s’était suicidé une heure après que Rose l’ai détaché. Il n’avait plus supporté de ne pas pouvoir jouer, « ce fut son dernier pêché mignon » annonça plus tard Rose. Grâce à cette réputation de ne jamais rater leur victime, la famille Killit avait acquis une somme rondelette. Elle s’était donc offert le luxe d’engager un appât. Ce « charmeur », comme l’appelait les Killit, suivait la cible, puis, par ruses et charmes incessant, l’emmenait dans Blood and murders directement. Le quatuor de tueurs n’avait plus qu’à le cueillir comme un fruit mûr.
Comme la présentation des personnages principaux et du lieu de l’histoire a été faite, nous allons pouvoir entrer dans le vif du sujet. Oui, vous vous dites enfin. Enfin nous allons pouvoir commencer l’histoire. Celle-ci démarre lorsque Lizziane dite Lizzie, coupe les ponts avec sa famille…

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